Une conférence internationale sur le développement rural, la réforme agraire et la lutte contre la faim, organisée par l'agence des Nations Unies pour l'agriculture avec le soutien du Brésil et la participation du président Lula, se tiendra à Porto Alegre la semaine prochaine, alors que 852 millions de personnes dans le monde restent sous-alimentés.
«La cérémonie inaugurale de la conférence se tiendra le lundi 6 mars en présence du président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, qui a placé la lutte contre la faim et la pauvreté rurale parmi ses priorités», annonce un "FAO" publié aujourd'hui à Rome. Plus de cinq ans après le "sommet du Millénaire, placé sous le signe de la lutte contre la pauvreté, les chiffres de la faim donnent toujours le vertige. Six millions d'enfants meurent chaque année de maladies liées à la malnutrition. Et à ce jour, quelque 852 millions de personnes dans le monde restent sous-alimentées. «Il ne reste plus que dix ans pour atteindre l'objectif fixé par la communauté internationale de réduire de moitié le nombre de sous-alimentés dans le monde. Dans la mesure où les plus pauvres parmi les pauvres sont des paysans sans terre, il ne sera possible d'atteindre les "objectifs du Millénaire que si l'on réussit à trouver des solutions durables au défi du développement rural», fait observer Parviz Koohafkan, secrétaire de la conférence. «Les trois quarts des 852 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde vivent en zone rurale et tirent leur subsistance de l'agriculture. La plupart sont des paysans sans terre ou qui cultivent des parcelles tellement petites ou si peu productives qu'elles ne leur permettent pas de nourrir convenablement leur famille», souligne la FAO.
«De nouvelles possibilités de développement rural et des réformes agraires permettraient à un grand nombre de paysans pauvres d'accéder de manière stable et équitable aux ressources productives de base comme la terre et l'eau et de briser ainsi le cercle vicieux de la faim et de la pauvreté», estime l'agence. «Convaincue que la réforme agraire devra être adaptée à la situation de chaque pays et qu'il n'y a pas de formule magique ou unique pour résoudre le problème foncier dans le monde, la FAO souhaite promouvoir, à Porto Alegre, des alliances entre gouvernements, organisations paysannes, institutions internationales, bailleurs de fonds et société civile», indique le communiqué.
«La cérémonie inaugurale de la conférence se tiendra le lundi 6 mars en présence du président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, qui a placé la lutte contre la faim et la pauvreté rurale parmi ses priorités», annonce un "FAO" publié aujourd'hui à Rome. Plus de cinq ans après le "sommet du Millénaire, placé sous le signe de la lutte contre la pauvreté, les chiffres de la faim donnent toujours le vertige. Six millions d'enfants meurent chaque année de maladies liées à la malnutrition. Et à ce jour, quelque 852 millions de personnes dans le monde restent sous-alimentées. «Il ne reste plus que dix ans pour atteindre l'objectif fixé par la communauté internationale de réduire de moitié le nombre de sous-alimentés dans le monde. Dans la mesure où les plus pauvres parmi les pauvres sont des paysans sans terre, il ne sera possible d'atteindre les "objectifs du Millénaire que si l'on réussit à trouver des solutions durables au défi du développement rural», fait observer Parviz Koohafkan, secrétaire de la conférence. «Les trois quarts des 852 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde vivent en zone rurale et tirent leur subsistance de l'agriculture. La plupart sont des paysans sans terre ou qui cultivent des parcelles tellement petites ou si peu productives qu'elles ne leur permettent pas de nourrir convenablement leur famille», souligne la FAO.
«De nouvelles possibilités de développement rural et des réformes agraires permettraient à un grand nombre de paysans pauvres d'accéder de manière stable et équitable aux ressources productives de base comme la terre et l'eau et de briser ainsi le cercle vicieux de la faim et de la pauvreté», estime l'agence. «Convaincue que la réforme agraire devra être adaptée à la situation de chaque pays et qu'il n'y a pas de formule magique ou unique pour résoudre le problème foncier dans le monde, la FAO souhaite promouvoir, à Porto Alegre, des alliances entre gouvernements, organisations paysannes, institutions internationales, bailleurs de fonds et société civile», indique le communiqué.
Cette conférence se tiendra sur le campus de l'Université catholique de Rio Grande do Sul à Porto Alegre du 6 au 10 mars prochain. Jacques Diouf, directeur de la FAO, sera présent à la cérémonie d'inauguration aux côtés du président Lula et de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement latino-américains.
Veuillez consulter le site du Centre de nouvelles ONU pour plus d'information.
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